- courir avec Yann ou un autre pote qui galopent comme une fusée
- Se mettre du métal à fond dans les oreilles.
J'ai donc testé la 2e solution. Au programme musical qui va bien
du Slayer, du Machine Head et du kickback. Dès les premières séries, l'envie et la hargne prennent le dessus. On oublie allègrement le chrono et toutes traces de fatigue. Malheureusement, il n'y a donc aucune concentration sur les sensations, ni sur le gainage et sur les appuis. On peut également être perturbé par cette non écoute de son corps, on entend ni son souffle, ni sa respiration. Je Je n'ai pas de retour sur les temps aux 500 (meilleurs ou pas?) car je courais aux temps.
Ne pas oublier une musique calmos pour retrouver une sérénité pendant la récup. Sinon, tu rentres chez toi en poursuivant tes beuglements guturaux.
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